Histoire de la psychologie clinique – bilan8 minutes de lecture

Conclusion histoire de la psychologie clinique

La psychologie clinique est l’héritière de la rencontre concrète à l’université de la psychologie ( tron commun), de la psychiatrie, de la psychanalyse, de la philosophie.

5.1 Introduction

Où en est la psychologie clo de no jours? Que lui demande-t-on? Est elle adaptée au monde contemporain?
Anzieux est un personnage clé de la création du méteir de psychologue clinicien et de sa dotation d’un code de déontologie.

5.2 Des années 40 à 45 à la naissance de la psychologie clinique

5.2.1 -politique d’institutionnalisation de la santé psychique ( en particulier concernant les enfants )

-création d’un institut pour l’étude des problemes humains ( inspiré par l’institut gering, dirigé par alexis carel ( français, médecin prix nobel et auteur de l’homme cet inconnu ; il préconise le traitement rationnel des délinquants, psychologie expérimentale )
-enquete « aux 100 000 enfants », en france avec comme objectif d’évaluer le capital actif, les passif récupérable et le déchet par « nosographie ». ( description des maladies et classification : lagache )
Suite a la guerre, les troubles psychologiques augmentent en nombre, d’où le développement de la psychologie clinique.

5.2.2 daniel lagache

Psycologues, philosophes, psychiatres et psychanalystes sont rapatriés à clermont ferrand. Lagache, lui, a continué son travail durant la guerre de façon neutre. Pour lui, la psychanalyse n’est autre que l’analyse psychologique, l’étude de la personne globale à partir de ses conduites ( ce qui est en fait la définition de la psychologie clinique ). Il veut faire de la psychanalyse une part de la psychologie clinique, désurant constituer une unité.

Il ‘agit d’un contresens de la part de lagache, puisque Freud, lui, emprunte le mot analyse à la physique, et lui donne le sens de décomposition. De même, lagache déclare pouvoir imposer le traitement par la psychologie clinique en lui donnant comme buts de conseiller, éduqueer et gouverner, qui est vraie pour la clinique mais qu’il confère aussi à la psychanalyse. Freud lui, assure justement que ce sont les trois choses ipossibles à faire par son procédé.

Lagache établit une démarhe euristique ( pour bien chercher ) complétée par l’expérimental pour généraliser les résultats.
Après la guerre, il est nommé prof de psychologie ( car le seul à être présent ), pour créer une licence autonome de psychologie. Il doit ainsi former des praticiens pour faire face aux traumatismes de guerre. Le gouvernement généralise la licence, notemment à touloue ( où s’installent yankelevich, meyeron et malrieu ( mort en 96 ).

5.3 premiers psychologues

5.3.1 filière universitaire nait en 1947

Les psychologues cliniciens et psychanalystes, mais n’ont pas de statut de médecin. Nombre ‘entre eux revient de l’étranger après la guerre pour exercer.

5.3.1 procès de la psychanalyse

Mme madelaine william clarck, est attaquée pour pratique illégale de la médecine par l’ordre des médecins promu par pétain. En effet, la psychanalyse a pour but de soigner, à travers lesoin psychique, la psychothérapie. La psychanalyse quand à elle, ne cherche pa la supprésion des symptômes, mais veut donner la possibilité aux gens d’en tirer les csq et d’être (ou de devenir) ce qu’ils sont.
Ce proces pose une contradiciton à l’état, qui doit condamner un mouvement qu’il a lui même voulu promouvoir. L’état règle ce dilemme en autorisant les psychologues à travailler sous le contrôle d’un médecin. Les psychanalystes constituent des institutions de soins ( cpp : centre psycho pédagogiques ) où vont travailler les premiers psychologues cliniciens. ( G. mauro, juliette favez bouttonnier ; exemple toujours existant : le centre claude bernard, accueil pour enfance traumatiée etc. ). Suite au procès perdu de mme clarck et au décret, les cpp – cmpp ( m=médicaux ) – sont placés sous tutelle de la médecine ( dumoins dans la fonction publique pour ce qui est des psychanalytes ). les psychologues et psychothérapeuthes

5.4 histoire ( dates )

1937 : lagache crée une licence autonome de psychologie ( pas seulement clinique )
1947 : lagache est nommé à la sorbonne
1955 : lagache change de chaire et devient prof de psychopatho ( discipline considérée comme essentielle. ) il est remmplacé par Juliette favez en psychologie. Les branches généralement de la psychologie se diversifient
1958 retour de de gaulle aux affaires françaises ( jusqu’en 68 ). l’enseignement de la psychologie clinique est créé en 3eme cycle par favez
1967 favez propose de créer unc ertificat de psychologie clinique, (licence (4) ), ous pression de l’ordre des médecins elle n’est pas créée
1968, le ministre de l’education E. Frez promulue la loi, réforme les études, avec la création de la maitrise (4), la menace d’une plainte par l’ordre des médecins étant écarté grâce aux évènements de mai. Il crée des maitrises spécialisées en psychologie, avec certificat de psychologie clinique ( psychopatho ). il crée un diplôme universitaire ( pro ) en pycho clinique qui est généralisé à l’ensemble de la france.
1985 ( 25 juillet ) sous mitérand, promulgation de la loi sur la profession de psychologue ( et spécialités asociées ). le décret d’pplication date de 90-94, et incorpore une « clause du grand père »
2004 ( 19 jan ) loi de santé publique sur la règlementation de la psychothérapie. Le titre de psychothérapeuthe se demande, de droit sont autorisés à l’obtenir, les médecins, les psychologues titulaires d’un diplôme autorisant, les psychanalystes duement inscrits sur les listes de leurs association. Ceci participe de la confusion entre psychanalyse et psychothérapie.

À la fin des études on dépose son diplôme à la drass et on est inscrit sur les listes adelit ???

5.5 psychologie clinique, qu’est ce?

Il s’agit d’un patchwork théorique, rassemblant la psychopatho, la psychologie génétique, la biologie, les stats, la psychanalyse etc. )

La psychopatho, n’ayant aucune théorie pratique, se base sur des dsm ( liste de symptomes ). elle recherche un renouvellement en allant à la rencontre de la psychanalyse, et emprunte au psychologue sa rigueur.
La psychanalyse, outre le fait qu’elle a besoin du psychiatre pour pouvoir être exercée, a besoin de la psychologie pour diffuser son savoir ( à travers notemment de postes de prof )
La psychologie et clinique armée quant-à elle a aussi besoin de la psychatrie pour pouvoir être exercée; elle retrouve par ailleurs dans la psychanalyse son côté humain.
Le psychologue formé à l’université opère un traitement non médical.

5.6 commande sociale, réponse et actualité

5.6.1 commande contradictoire, manifeste, publique et singulière.

1/ elle huile les rouages de la société, contribuant à une meilleure connaissance du fonctionement psychique ; et en déduisant des modalités d’action pour réparer/ intervenir ( certains la voient comme un moyen de manipulre le monde ) intégrer, adapter, assimiler les individus dans le vivre ensemble, de garder les personnes incapables de vivre seules dans le champ social.
2/question personnelle, question éthique de la réponse.

5.6.2 existe en trois registres, à niveau égal, tous bien si les trois coexistent.

-la clinique naturaliste a pour objet d’étude l’individu, l’étudie de façon expérimentale, produit des lois générales
-la psychologie humaniste a pour objet d’étude la personne, la dignité, le vécu ( elle comprend la psychopatho ) et mène à une théorie du v&écu de la personne
-la psychologie d’orientation psychanalytique ou psychodynamique prend le sujet comme objet et sotient la dimension du singulier.

5.6.3 le métier est il adapté au mond contemporain

pour répondre à cette question il faudrait pouvoir caractériser le lien social.

Deux traits dominent :
-le scientisme ( la science est la seule explication vlable et expliquera tout un jour, rien n’existe en dehors de la science, on parle aussi de technoscience, celle ci rentre jusque dans la vie privée et concerne tout )
-le marché ( tout ce qui manque est trouvable – si on a de l’argent – demain on asura tout, et on ne manquera de rien. Les individus ont un fonctionnement face à l’économie diféfrent de la psychologie d’antan. On se laise suggestionner, on renonce à nous penser comme sujets de désirs. Aucun objet ( selon freud ) ne peut pourtant satisfaire notre désir, nous en guérir. La société de consomation est par conséquent une société de frustrés. Un objet nous manque, on l’achète, on et déçu…

Si on examine les symptomes qui en ressortent, l’humain considère que l’objet est une part de soi. On est prêt à ture qulqu’un qui a éraflé sa voiture. La société de consommation part du principe que les mêmes objets peuvent compléter tous les sujets.

En signe de protestation à ce traitement généraliste, de monsieur tout le monde, certains refusent catégoriquement tout ce qui vient du marché ( c’est la dépression ) , d’autres y deviennent dépendants au contraire ( achats compulsifs ).
On voit aussi ce qu’on pourrait appeler une pathologie de l’ennui. La té prone une jouissance sans risques, aseptisée où il ne faut rien approcher de dangereux. Le résultat en est une recrudescence des conduites à risques ( saut en parachute des toits d’immeubles,sports extrêmes entre autre ).
Enfin, se pose la question du suicide, 1500 par an en france.

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