Histoire de la psychologie partie 1 : organisation du cours et grands axes d’études de la psychologie3 minutes de lecture

Histoire de la psychologie, tronc commun

Présentation de l’unité d’enseignement

L’ UE1 est diviée en deux parties : les TDs et les Cms. 4 chapitres sont traités au cours du semestre. 5 semaines seront consacrées à la psychologie pathologique, psychologie clinique, psychanalyse, et la psychologie du développement. Puis 5 semaines seront consacrées à la psychologie sociale et la psychologie cognitive. Un examen valide chacune de ces partie. Le premier constitué d’un questionnaire en deux parties, de 5 à 10 questions chacune.

Conseils pour suivre le cours

Conseil : il faut favoriser la solidarité entre étudiants, travailler régulièrement et de façon continue, lire de nombreux ouvrages sur la psychologie en dehors des cours et de ses sujets, pour approfondir votre conaisance des sujets.

« ne pas écrire le résumé du résumé (cours) du résumé (livre) du résumé (résultat publié de recherche) en devoir, mais directement le résumé du résumé (livre ou recherche) »

Tout cour raté doit être rattrapé

Note : Il est important de retenir les noms de nos profs de TDS, ces derniers devant être cité lors des contrôles pour justifier des cour suivis (Thèmes abordés ou non, en profondeur ou non etc.)

Objectif et plan du module

L’objectif de ce cours est de suivre les débats sur les questions de psychologie. Comment ces questions ont-elles amené à la construction de la discipline? Comment la psychologie s’est-elle différenciée de la philosophie et de la biologie? Les quatre chapitres suivant répondent à ces questions.

Introduction au tronc commun d’histoire de la psychologie

La psychologie a un long passé, mais une courte histoire – Hermann Ebbinghaus

Les questions de psychologie sont posées dès la naisance de l’humanité. La science de la psychologie ne date que du XIXème iècle, début du XXème. La professionnalisation de la psychologie date de 1985.

Psychologie : une science faisant partie des sciences humaines

« rupture épistémique en recherche d’un réel*

*réel : ce qui échappe au discour,

Définissons les sciences humaines en fonction des sciences naturelles. Elle s’y oppose. Les sciences naturelles étant définies par les termes exactes, pures, dures. Cela implique que les sciences humaines soient impures, inexactes, molles etc.

L’application des méthodes des sciences naturelles n’est pas efficiente au niveau des sciences humaines. Si nous pouvions dire ce qui fait que l’humain ne répond pas aux critères d’un objet d’étude de sciences naturelles, on connaitrait la spécificité de l’humain.

De l’étude de l’âme à l’étude du fonctionnement humain

La psychologie (du grec psyche (âme ) et logos (discours ) est la science de l’âme. Elle est considérée comme tel littéralement au XVIème, ce qui en fait à l’époque une étude des fantômes et manifestations similaires.

De nos jours, la psychologie a pour objet d’étude des sujets précis : la mémoire, l’apprentissage, la perception, les émotions, la personnalité, l’influence sociale, les stéréotypes, le veillissement, les maladies mentales… En fonction des objets étudiés, la psychologie se spécifie en un découpage arbitraire relatif, dicté tant par le point de vue que par l’objet observé.

Principales lignes de forces

Transition, introduction au cour suivant

Chaque chapitre variera en fonction de son objectif, sa méthodologie, et le type de savoir obtenu.

L’étude du comportement

Le premier cours sur Watson, en paralèle à Pavlov considère la psychologie come réductible à l’étude des comportements. Ils n’étudient que le vu. Le comportement se limite à l’organisme. C’est ce qu’on appelle le comportementalisme ou béhaviorisme. Floyd Allport invente la socio-biologe.

L’étude de la conscience

En opposition au comortementalisme, la prise en compte de l’individu est la base de la psychologie des conduites. L’organisme n’est pas nié, mais il ne crée pas directement les conduites. Ces dernières sont définies comme le fait d’un appareil psychique. Pierre Jeannet est le « patron » de la psychologie des conduites.

L’étude de l’inconscient

L’étude de la singularité est menée par Freud. A traver la psychanalyse, il prend en compte en plus, l’inconscient.

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