Jean Piaget
Biologiste, et zoologiste. Il s’intérese à la philosophie et l’enseigne, convaincu de la nésséssité du développement des connaissances scientifiques. Il fait lui aussi le parallèle entre ontogénèe et philogénèse.. Il étudie le développement de la pensée des enfants, pensant qu’elle repasse par toutes les étapes du développement de la pensée scientifique. A la base de ce développement, il place la biologie et l’autoéquilibration, la recherche d’une homéostasie sur la compréhension et la connaissance des objets psysiques, et donc considère des facteurs sociaux, non déterminants, bien qu’importants.
Il s’inspire des travaux de baldwin, transposant le principe d’adaptation biologique impliquant l’assimilation et l’accomodation, et est inspiré par hall et haeckel. Tout organisme, de la cellule à l’homme assimile des éléments du monde extérieur qui résistent, en devant s’y accomoder.
Prenant le stade de l’oralité, pour lui, la bouche, et la succion provoquent des contacts différents auxquels l’enfant a des réactions différente impliquant une accomodation.
Le dialecte entre assimilation et accomodation résultent en une adaptation, ce qui est à l’origine de la connaissance ( épistémologie génétique )
savoir -> cognition -> éducation -> connaissance
Pour freud, piaget et walon, le développement est indépendant des contenue ( de la connaissance acquise ), contrairement à wygostki et bruner, pour qui l’intelligence est multiple, multiforme ; ils considèrent donc que l’on ne raisonne pas de la même façon face à un sujet différent.
La performance est indépendante de la compétence.
Objectif : comprendre la construction de la connaissance, le passage de la pensée prélogique ( causes magiques ) à la pensée rationelle.
L’enfant est un scientifique en herbe chercant à expliquer les chos qui l’entourent.
Livre : Le langage et la pensée chez l’enfant
égocentrisme : indifférenciation ntre l’objectif et le sujbjectif, la volonté propre et celle d’autrui. ( dans le cas de la religion, on parlerait de participationisme. )
L’enfant présente un égocentrisme total, une confusion totale, un autisme originel. La différenciation entre le soi et l’extérieur au soi se fait progressivement, l’égocentrisme demeure, mais évolue. Un bébé ne faisant pas la différence entre lui même et le monde extérieur, ressent les angoisses de la mère comme étant siennes., chose qui laisse des traces dans la pathlogie.
Piaget se détache de la psychanalyse, se désintéresse des aspects sociaux et du développement affectif. Il représente par conséquent un contre poid par rapport aux théories psychanalytiques.
Le développement repose sur le principe d’adaptation biologique, la recherche permanente d’un équilibre entre assimilation et accomodation.
A l’origine des structures, réflexes au niveau biologiques ( y compris in utero ) vont provoquer un changement, à laquelle l’individu va être confronté et devra modifier son réflexe en conséquence par accomodation, ce qui aboutit àl’adaptation. Le réflexe, de besoin biologique, passe à un niveau psychologique et conduit à la curiosité, l’exploration, le lien affectif. Il devient alors un shème. ( shéma / potentialité d’action, construit à partir de réflèxes )
Dans un premier temps, piaget fait une étude longitudinale sur ses enfants de plus ou moins 2 à 6 ans. Dans un second temps, il réalise ds études transversales jusqu’en 70, sur des enfants de 6 ans, à l’adolescence. Il emploie alors une méthode clin_ique d’exploration méthodique. Laissant de côté les tests, il réalise des entretients, dialogues où il pose des questions et juge non seulement des réponses, mais aussi des explications de ces réponses. Lors de ces entretiens, il teste aussi la pensée opératoire critique. L’enfant donne une réponse, et on y introduit un doute, pour voir si l’enfant est sur de lui ou pas.
Où est le soleil la nuit? Pourquoi la lune bouge-t-elle dans le ciel? Où est le rêve quand tu rêves? Etc. qui conduisent à des réponses plus ou moins animistes, égocentriques. ( la lune me suit etc. )
livre : la représentation du monde chez l’enfant
il fait des expériences de concervation ( pate à modeler de forme différente maisde quantité égale, comparison d’une quantité identique d’eau dans un verre haut et fin, et un verre plus bas et plus large etc. )
les stades :
-> 2 ans : sensorimoteur
3 à 5/6 ans : pensée prélogique, préopératoire, symbolique, sensitive
6 à 10 ans : pensée opératoire concrète, pensée rationnelle
après 11 ans : pense opératoire formelle. Pensée hypothético déductive
A 18 mois, la différenciation entre le soi et les autres s’instaure, sortant le bébé d’une forme d’égocentrisme pour passer à un stade perceprtivo moteur auquel s’instaure l’immitation. Il ne s’agit pas d’une réorganisation brusque.
La théorie de piaget repose sur une construction progressive dans laquelle l’enfant est actif, par opposition au maturationnisme et au behaviorisme/. On parle de constructivisme de piaget.
L’enfant immite les choes dans un premier temps lorque le modèle est présent, puis plus tard, en son absence.
Livre : la formation du symbole
L’imittion différée, la mémoire et la représentation qui lui sont nécéssaires ( image mentale ) marquent l’entrée dans un nouveau stade de 2 à 5 ans. Le stade de la représentation et de la pensée symbolique conduit au jeu symbolique, et l’établissement de la ditinction entre signifiant et signifié, et la notion de référant. ( l’image mentale peut être visuele mais ne s’y limite pas, elle comprend aussi les autres sens ).
Le langage vient du développement de la contruction d’unprocessus visant à décrire le monde grâce à l’environnement hysique ( non social, iaget oublie l’aspect des interractions sociales, les discussins etc. )
En ne considérant le langage que dans sa fonction de représentation, piaget passe à côté de la communication, des échanges, du sens posé par l’extérieur. Au contraire, le bébé est bercé d’un « bain de langage », « enmaillé dans le langage », ce qui est soutenu par les carences affectives dans l’hospitalisme, conduisant jusqu’à la mort de l’enfant.
L’inteligence est une coordination de schèmes.
Exemple, shème de la permanence de l’objet : l’enfnt cherche un objet qui est hor de sa vue, il sait donc que l’objet existe même s’il n’est pas là, ce qui n’et pa le cas dès la naissance. La mère est le premier objet permanent.
Pour Wallon, le langage est l’outil de communication, et se développe avant la fin de la seconde année.