TD4 La fonction du symptome
Dans l’oedipe, qu’il s’agisse d’une petite fille ou d’un petit garçon, le père pose l’interdit de l’inceste par opposition ou par non réponse aux avances.
Alicia souffre de phobie des transports en commun. La phobie désigne la peur intense et immotivée qui s’empare du sujet face à une situation ou un objet n’ayant pas en eux même de caractère objectivement dangereux. Elle est apparue au moment de son changement d’école. Avant ce dernier, Alicia fréquentait la même école que son frère et s’y rendait avec lui. La présence de son frère lui fournissait un étayage suffisant pour éviter la décompensation, c’est-à-dire la crise qui marque l’effondrement des mécanismes de défense habituel d’un sujet confronté à une situation nouvelle et insupportable. Le fait de voyager seule a engendré une décompensation chez Alicia et la survenue de symptomes bruyants est à l’origine de sa souffrance.
Le symptome phobique chez Alicia est un retour du refoulé qui se fait sur un objet extérieur (les transports en commun) et qui suscite chez elle une forte angoisse. Cet objet est un matériel signifiant qui sert de support d’expression au signifiant qui est le symptome phobique, signifiant car impossible à déchiffrer d’emlbée. Au fil des scéances, grâce à l’association libre, le symptome phobique va être éclairé de sa portée signifiante.
En tant que retour du refoulé, le symptome phobique chez alicia apparaît comme une défense car il évite le retour en substance des éléments refoulés intenses et inenvisigeables au rang de la conscience. Par la déformation qui le caractérise, il permet de sauvegarder la sécurité psychique du sujet. La phobie apparaît comme traitement de l’angoisse de castration. Pour Freud, la phobie est un afect en relation avec le conflit oedipien et précisément le complexe de castration.
Vers 5 ans, la petite fille a la vue de l’organse de l’autre sexe va se percevoir comme la victime d’une castration. La forme d’expression que prend chez elle le complexe est alors l’envie du pénis-phallus. D’emblée elle a décidé, sait qu’elle ne l’a pas et veut l’avoir. L’envie du pénis-phallus va se trouver un équivalent symblique dans le désir d’avoir un enfant, ce qui conduit la petit fille à choisir le père comme objet d’amour. Celui-ci ensuite se positionnera comme agent de la castration symbolique en ne répondant pas à ses attentes, autrement dit, en tant que père interdicteur de l’inceste. La petite fille se tournera alors de nouveau vers la mère, en s’identifiant à elle et en acceptant on sexe. De ce fait, l’angoisse de castration disparaît (dans le meilleur des cas du moins).
Seulement dans certains cas, il arrive que la fonction paternelle ne parvienne pas pleinement à imposer la loi de la castration symbolique. Pour Freud, lorsque l’enfant ne réussit pas à mettre en place la fonction paternelle, alors la phobie peut éclore. Chez alicia, le défaut de la mise en place est très précisément visible dans son discours. « mon père qui est toujours apres moi… » refusant de l’introduire dans le circuit des échanges, préférant la garder pour elle, ne veut pas qu’elle ait des amoureux avant 18 ans… Bref, il veut la garder pour lui.
La phobie apparaît comme une cnstruction élaborée pour étayer la fonction paternelle défaillante. C’est-à-dire que grâce à la phobie son père l’accompagne le plus souvent, donc elle permet un bénéfice secondaire, un gain en la laissant captive du fantasme paternel oeidpien. Elle peut toujours espérer obtenir du père ce qu’elle a tant attendu, mais qui en même temps lui fait peur. Le symptome permet la libération de l’énergie pulsionnelle sous forme d’angoisse. De façon plus générale, l’objet phobique localise la peur afin de protéger le sujet d’une ataque d’angoisse plus massive et généralisée.
Ah Freudisme quand tu nous tiens
Le monde est intoxiqué du plus grand mensonge de l’histoire que sont les théories freudiennes,inventé par un illiminé qui se voulait aussi célébre que Christophe Colomb.
Mais sigmund n’était qu’un pauvre type scientiste qui a échoué dans tous ces travaux précédent ce qu’il l’a véxé au plus au point,d’autant plus que ces collégues et amis proches réussissaient dans leur recherche.
Alors Freud désespére à péter un plomb et ses mis à se droguer puis à vanter les mérites de la cocaine devant ses pairs ce qui a provoqué un tollé énorme
C’est sous cocaine que sa folie à inventé la psychanalyse dont les sciences humaines.Il a drogué,menti torturé et créer de toute piéces les symptomes de ses patients lui servant de cobaille,d’objet d’étude
oedipe et ses étiologies sexuels etc..utilisé encore aujourd’hui car elles arrangent le haut établishment maitrisant la société et malheureusement 99% des gens croient aux gourous pronant ses mythes que sont les psy etc….
Je me suis permis une réponse plus détaillée reprenant la critique et qu’il est possible de lire là -> http://psychology-lessons.blogspot.com/2008/05/freud-et-la-psychanalyse.html
le pauvre type illuminé comme tu dit à mis au point beaucoup de concepts psychanalytiques qui ont remis en cause pas mal de choses à son époque. peut etre les critique tu car tu as tu du mal à les comprendre.
des travaux sont contestables, et je pense que on peut se permettre de les contester quand on s’apelle Lacan ou Young. ou du moins avoir de meilleurs arguments que les tiens… enfin il n’y en a aucun dans ton commentaire.
en ce qui concerne la cocaine, il en a consommé et ecrit un livre dans lequel il ne fait pas que vanté ses merites, au meme titre que Hoffman pour le LSD ou Baudelaire pour l’Opium. il faut se mettre dans le contexte de l’epoque pour comprendre certaines choses, au lieu de pester des choses du regard intolerant que l’on a aujourd’hui.