la dignité, nouvel enjeu de mobilisation3 minutes de lecture

la dignité, nouvel enjeu de mobilisation

Ce texte est un article extrait de la revue sciences humaines dans le cadre d’un dosier sur les luttes pour la reconnaissance.

( + ouvrage, présentation )

L’auteur, Jacques Ion, travaille principalement sur deux thématiques : l’intervention sociale et l’engagement dans l’espace public.

Mots clefs : lutte, minorité, existance sociale, stigmatisation, nouveau type de mobilisation, reconnaisance, individu

champ général : la sociologie politique ( intérêt porté à l’état et ses institutions ou tut rapport social rapporté à la plitique, questions de vote, de militantisme. )
Etudes du militantisme par rapport à la politique ou l’associatif. ( fateur socio-culturels, valeur, façons de réagir dans l’association, l’implication. ) le caractère éclaté et la recomposition des modes d’action sont confrontés dans ce texte.

Le thème du texte est l’évolution de l’existance sociale, la reconnaisasnce dans les milieux publics, l’égalité de tous face à la dignité.

La thèse de l’auteur est l’émergence de la mobilisation d’acteurs peu présents habituellements sur l’espace public, mobilisation caractérisée par une mise en avant de l’acteur en recherche de conaisances.

repérer les paragraphes et en dégager l’idée principale.

Paragraphe 1 : introduction, des acteurs habituellement exclus de l’espace public se mobilient.

Paragraphe 2 : illustration de ces mouvements et caractéristiques

paragraphe 3 : il existe deux moyens de se mobiliser au sein des associations : s’assumer, ou se metre en retrait pour éviter l’image de la victime.

Paragraphe 4 : retournement du statut de victime pour se donner un nom, explication du type de mobilisation.

Paragraphe 5 : pasage de militant anonyme au militant individu ( avec l’intégration de l’émotionnel au militantisme ), rupture avec le militantisme et ses formes précédentes.

Paragraphe 6 : remise en quetion du statut politique

Paragraphe 7 : explication des changements mentionnés ci dessus, à travers le procesus d’indvidualisation, les risques, l’incertitude face à l’avenir.

Paragraphe 8 : recherche d’une dignité, d’une reconnaissance sociale : malgré les chagements des formes de la lutte, le fond reste le même.

Paragraphe 9 : deux régimes de mobilisation : la revendication des status en droit (vs) la reconaisance ( en plus du statut politique ) de l’individu, l’identité. <- deux hypothèses formulées à partir des constats sur les régimes du militantisme

Paragraphe 10 : conclusion

résumé ( polycopié dispo la semaine prochaine )

Face à la mobilisation progressive de personne qui sont traditionnellement exclues de l’espace public, tant par un manque de ressources économiques que relationnelles ou cognitives, l’auteur s’intéresse plus particulièrement dans ce texte à la question de la reconaissance publique de ces nouveaux collectifs qui oeuvrent pour la reconnaissance de leur droits et leur eccès à l’espace public.
Ces nouveaux collectif, souvent mis en oeuvre par les intéressés eux mêmes, se mobilisent en utilisant deux voies de distinctes : les uns passent par une position victimaire, les autres sont davantage sur le mode d’une revendication identitaire. dans ces nouveaux mouvements, la recherche de reconaissance publiques et prises de parole passe essentiellement par un processus spécifique : le « détournement dy stigmate ». ceci aboutit à une srte de subjectivation de l’action et à un nouveau rapport au politique ce qui entraine une rupture avec les modes traditionnels du militantisme, dans lesquelle les sphères publiques et privées étaient tenues à distance l’une de l’autre. Ce changement s’expliquerait en partie par une perception incertaine de l’avenir, couplée à une modification des constructions identitaires. Cependant, bien qu’il existe une transformation de la mobilisation, le fond de la revendication reste identique, soit la recherche de reconnaissance, de dignité. Devant ces constats, c’est l’hypothèse de l’existance de eux modes d’engagement qui est formulée. Le premier, recherche l’élaboration de nouveaux status par voie juridique en diluant l’individu dans un groupe, alors que le second, sur la base d’un socle de valeurs universelles, met en avant ls identités individuelles. finalement, c’est l’individu, en quête « d’estime de soi », qui prend place dans les mobilisations sociales actuelles en ouvrant ainsi la voie à la jutice sociale.

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