Les règles de la méthode11 minutes de lecture

les règles de la méthode

loi générale permettant d’expliquer le fonctionnement le la société.

I/ solidarité mécanique et organique

1/ 1893, durkheim écrit sa thèse : de la division du travail social

Comment une collection d’individus fait société? Comment la société est elle créée, et pourquoi certains ne se sentent ils pas solidaires et d’autre trop? Quelle est la place de la socialisation des individus dans une société en bouleversement, où les instances traditionelles ne fonctionnent plus?
Entre exode rural massif, urbanisation accélérée, disparition ( du moins diminution ) de l’influence des modèles traditionnels d’autorité, sous quelles conditions la liberté individuelle est comparable avec l’impératif de la vie collective? Qu’en est il de la cohésion sociale? Du lien social?
Il existe différentes formes de socialisation.
À quel point pousser la liberté individuelle ? ( porter une arme? )

Le discours sur la société devient structuré, avec l’industrialisation, l’urbanisation. La société du 19eme produit de la segmentation. Etudier les différences de socialisation implique de prendre en compte la condition de la liberté individuelle et les processus par lesquels il s’intègre. L’indicateur de l’intégration est proportionnel à l’influence des traditions, ainsi on constate une correlation entre réussite et enracinement dans les racines dont le sociologue doit se défaire au contraire.

2/ division sociale

La spécialisation des individus de plus en plus acrue entraine un hausse de la division sociale. Adam smith a une approche rationaliste : il prone le « calcul de l’homme », fondé sur la raison, ( calcul rationnel ). il est un précurseur du libéralisme.

Herbert spencer au contraire a une approche évolutionniste : pour lui, les sociétés portent en elles cet évolutionisme.

Durkheim quant à lui caractérise un type d’organisation sociale sur le principe de la solidarité, qui se présente sous deux formes. D’une part, la solidarité mécanique, celle des sociétés archaiques ou communautaires. Les individus aprouvent le système cosmogénique ( sacré ). ainsi l’individu existe en tant que partie du groupe, il tente de se conformer aux normes de la société, la déviance étant vite sanctionnée. La ressemblance aux autres est alors une valeur centrale. Ce système fait preuve d’un manque de diférentiation entre individus qui partagent un système de valeurs communes, ou le dogme présent n’est pas constaté. Les sentiments communs partagés par tous n’offrent pas de possiblité de choix à l’individu. On parle de conscience collective : l’ensemble de valeurs partagées par tous réside néanmoins en dehors de chacun. Le principe d’individualisation n’est pas envisageable dans ce type de société, les individus n’ont pas la possibilité de s’autonomiser, de s’affranchir des normes auxqueles ils se soumettent. Ces sociétés traditionnelles, où l’interdit père lourd sur ses membres existe toujours de nos jours, et demeure très vivace. ( par exemple, pays basque espagnol ). l’individu disparaît derière la norme du groupe pour pouvoir s’affirmer. L’acceptation dans ce groupe nécéssite des sacrifices, il y a un encadrement communautaire fort.

On parle là de société froide : une société de la ressemblance des uns aux autres.
En oppisition avec la société chaude, on parle de société froide pour qualifier les stés qui permettent aux individus de se tenir à distance les uns des autres.
La société froide est caractérisée par une solidarité organique c’est à dire un processus d’interdépendance et d’émancipation où les individus sont globalement indépendants les uns des autres. En effet le marché de liberté individuelle s’accroit , la sexualité dans les sociétés chaudes codifie les pratiques et sanctionne les pratiques déviantes ; au contraire, les stés froides permettent aux individu de coisir leurs pratiques.

Conclusion :

Les sociétés collectivistes préexistent aux autres sociétés organiques.
La différenciation sociale apparaît comme condition de liberté individuelle.
La société organique est considérée comme solidaire
La part de conscience collective diminue face à l’hypertrophie des consicences individuelles.

La société octroie de plus en plus de liberté aux individus
Les individus cherchent un principe d’intégration se substituant au modèle de l’autorité traditionnelle, pour éviter la désintégration sociale. On voit ici apparaître le rôle de l’état ( exemple des punitions corporelles dans la famille nucléaire ); les rapports de la famille se sont démocratisés et égalisés. Ceci implique la capacié d’utiliser ds processus d’argumantation, le probleme étant l’inégalité des individu face à ces outils.

L’intégration sociale des individu résulte du phénomène de contractualisation. On nous demande au collège de signer un contract avec des règles qu’on croyait inscrites dans la culture, la conformité est acquise dans un cadre de socialisation. Par exemple, on signe un contrat de travail avec des horaires spécifiques ( qui ne sont pas pour autant nécéssairement respectés XD )

Comment passe t on du modèle mécanique au modèle organique? Ce passage se fait sous forme e prise de conscience : lorsque la densité de population augmente, les humains ne vont pas s’éliminer, mais au contaire se spécialiser afind e meiux répartir les ressources. La densité de segmentation est une variable soiologique. Ce processus est de plus en plus prsonalisé : on travaille pour satisfaire une demande. Il en résulte une interdépendance fonctionelle accrue, et un perte d’efficassité à contrôler les processus.

II/ les règles de la méthode sociologique

la démarche scientifique conduit à mettre en évidence des lois qui régissent les faits sociaux.
1/la sociologie est un domaine des phénomènes extérieurs aux individus qui sont irréductibles : les faits sociaux. La sociologie va promouvoir l’observation, la correlation pour déterminer leur causalité, elle adapte la méthode expérimentale à ses besoins, ce qui résulte en un ensemble de règles, dont 6 sont principales.

règle 1 : modalité d’identification du fait social
Le sociologue doit le traiter en tant qu’objet. L’objet de la sociologie étant l’analyse des faits de société. On repère le fait social grâce à 4 critères :

  • une manière d’agir des individus

Cela comprend les sentiments ( j’ai le sentiment que ces comportements sont de ma volonté, et non de la société. Les faits sont objectifs, et non subjectif ( exxemple : le rôle du père, que chacun veut interpréter à sa manière et se ent inventeur de sa manière particulière )

  • un caractère de contraintes

Le fait social s’applique à tous sous des formes contraignantes, les faits sociaux sont coercitifs, ceux qui ne le sont pas ( la mode par exemple) s’impoe à nou de façon plus douce. Les normes langagières par exemple sont l’objet de marque d’un repérage. La société peut renvoyer un mesasge pour nous dire qu’on ne lui est pas conforme. Ainsi les faits sociaux relèvent de ces deux ensembles : une manière d’agir en dehors des libertés individuelles.

  • un phénomène plus ou moins stabilisé

Il ne s’agit pas forcémment d’organisations. Les catégories morales sont les objets d ce premier type, mais les forme d’organisation peuvent être éphémères tel que des mouvements sociaux ( phénomène de foule)

  • des contraintes incorporées

Certains comportements échappent à la conscience qu’on peut en avoir, la société guide alors nos pas, nos gestes. C’est le cas par exemple des bonnes manières, qui ne sont autre qu’une contrainte qu’on a intégré, auquel l’individu se conforme peu à peu comme valeurs sienne, par un processusde rationalisation, face à une possible sanction en cas de refus de la norme.

!!! Il ne faut pas confondre fait social et généraité sociologique. !!!

le fait social ne doit aps être apréhendé à l’individuel, ( fait psychosociologique ) les stats lissent les échanges, objectivant la réalité. L’analyse ne doit pas être brouillée par la subjectivité.
Manière de faire, et manière d’être.


règle 2 : le fait social doit être considéré comme une chose
( la psychologie dixneufiemeiste veut qua la sociologie soit en tout point conforme à la science expérimentale, et par conséquent, elle doit envisager sans jugement de valeur, de même que le biologiste observerait une molécule; le sociologue doit donc adopter une perspective positiviste et objectivante, ne permettant pa de mobiliser la subjectivité. Les faits sociaux sond par conséquent souvent médiatisés par un cadre de représentation ( se référer à l’exemple sur la sociologie de bistro du premier CMA ). Les faits sociaux doivent être construits par un raisonnement scientifique, car ils sont abordables par le sens commun, et par conséquent, discutables. C’est la chose qui doit être observée e non l’idée qu’on se fait de la chose. Cette idée et reprise et réélaborée par bourdieu, qui donne cours à une rupture épistémique, des les années 80-85, on se tient au concept de base, mais ar la suite, on revient desus en laissant plus de place aux acteurs et à leur subjectivité, par des techniques variées ( enquetes, questionnaires, stats etc. permettant l’analyse de processus de construction collecitve).

Règle 3 : distinguer le normal du pathologique ( dans un fait social ). on retrouve ici une visée politique et moralisatrice de la socilogie propre à l’époque. Il s’agit de définir si un fait social est routinier, ou s’il est résultante d’un dysfonctionnement du système social auquel il faudra pallier. La sociologie n’a de fonction que si elle peut alerter le politique.
Anecdote : en 2005, lors des émeutes urbaines, les politiques ont reproché aux sciologues de ne pas les avoir alertés des risques, reproche qui a trouvé une répone simple de la part des sociologues : les données étaient là, il aurait suffit de lire les rapports ;).
Durkheim onsidérait comme « normal »n tout fait social se produisant dans la moyenne de développement de tout fait considéré. ( on peut reprendre ici l’exemple des drogues, dont la définition varie ente le politique(ement correct ) et le social a proprement parler ). Le ocilogue ne devrait pour durkheim pas poser de jugement social : il existe une pratique généralisée, celle ci est par conséquent normale. La sociologie déplace ainsi les frontières construites par les préjugés. On peut prendre comme exemple le fait social qu’est le suicide, cas symptomatique pour le sens commun, mais fait social normal du point de vue de durkheim, puisque ce phénomène est répandu dans toute la société et n’est sujette qu’à des variations minimes ( qui font d’ailleur tout l’intéret des études ). ceci s’applique aussi à l’étude de H.becher portant sur le crime.

règle 4 : poser la question de la pertinence d’une approche généalogique. On préconise de ne pas tout aborder d’un bloc, avoir une approche généalogique permet de aisir le phénomène dans son essence primitive en en dicernant les origines, et les « scories parasites de halo de la modernité » à travers par exemple, les formes élémentaires de la vie religieuse.

Règle 5 : établir les causes des faits sociaux. En effet le sociologue ne doit pas se contenter de définir la fonction d’un fait social, mais aussi ce qui l’origine ( d’où, de qui, comment? ) on eut prendre en exemple, le cas de l’école, l’effet que la société produit sur les individus.
A quoi sert l’état? Réguler les relations entre individus. Une question plus intéresante serait pourquoi apparait-il sous telle forme plustot que telle autre, ici ou là? Ceci amène à étudier les causes renvoyant à la généalogie produisant le phénomène.

Règle 6 : expérimenter en pratiquant une méthode comparatiste.
Il est difficile de mettre des humains dans une boite de pétri pour observer les modifications sociales et expérimenter dessus. Cette impossibilité d’expérimenter dirctment sur les sujets humains a conduit à un maintient de l’aspect expérimental sous une forme différente : celle indirecte médiatisée par les stats, d’observation et de comparaison, en fonction d’un contexte culturel ou temporel, qui peuvent être rééalise de façon diacronique, synchroniques, longitudinales ou transversales.

Conclusion, la méthode de la sociologie est fondée sur la volonté d’indépendance vis à vis de la philosophie spéculative, utilisant l’expérimentation, le matériau empiriur pour s’octroyer un statut à part. Volonté qui est aussi d’objectivité, refusant le subjectif ; la ocio n’a qu’a observer, dénombrer, sans se poser de questions. Enfin, elle se base sur une spécificité, une exclusivité de la discipline par rapport à la biologie, la psychologie ou la philosophie.

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